Comme à l’accoutumée, la grande famille de l’OMNIS s’est réunie pour célébrer les fêtes de fin d’année. Un bon moment que les enfants, ainsi que leurs parents, ont attendu impatiemment.
La magie de noël se réalise comme tous les ans pour l’OMNIS. Le lundi 21 décembre, tous les employés accompagnés des membres de leur famille ont partagé une journée de bonheur au Batou Beach Ambohimanambola. Organisée par l’AFO (Association des Femmes de l’OMNIS), l’événement était pleinement ludique pour petits et grands. « En tant que mères, nous pensons toujours en premier lieu au bonheur des enfants. Cette journée est surtout pour ces petits. Mais les parents méritent également d’être récompensés pour leurs réalisations au sein de l’OMNIS et pour la bonne éducation qu’ils ont donnée à ces enfants », a affirmé la présidente d’honneur de l’AFO, Rasoanaivo Voahangy, épouse du directeur général de l’OMNIS, Rasoanaivo Bonaventure. En effet, outre les nombreuses activités offertes par le parc d’attraction, comme la grande piscine, le trampoline, le karaoké, les terrains de sport, etc., les enfants de l’OMNIS ont également reçu des cadeaux de noël. Une enveloppe d’argent pour les 11 et 12 ans afin qu’ils puissent faire eux-mêmes leurs choix, et des jouets pour les plus petits. Au total, 200 enfants ont bénéficié de ces cadeaux offerts par l’AFO. Et comme Noël rime toujours avec partages et échanges, ces petits ont également offert des fleurs aux parents, en guise de cadeaux. De son côté, pour la chorale SIOKA formée par quelques membres de l’Office, la journée festive était une occasion rêvée pour faire une belle animation à travers des chants de noël. Bref, tout était réuni pour une journée festive inoubliable. Par ailleurs, les activités de l’AFO ne se limitent pas à l’organisation de journées récréatives de ce genre. Cette association contribue également au développement personnel des enfants de l’OMNIS, en mettant, par exemple, à la disposition de ces derniers, un cyber avec des ordinateurs connectés à Internet. Toutes ces activités sont financées par les cotisations des membres de l’association et par des ressources issues de cérémonies de levée de fonds, organisées une fois tous les deux ans. Bref, il s’agit d’un bon exemple que les femmes des autres établissements peuvent suivre.
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