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Infrastructure routière : 10 heures de coupure de la RN4 ce jour au PK 433+500

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: Les infrastructures routières doivent être de qualité et durables, selon le MATP.

Les travaux de réhabilitation des routes nationales se poursuivent. Après les travaux d’urgence qui ont permis de rétablir la circulation au niveau des routes coupées, suite aux intempéries du mois de janvier, le ministère de l’Aménagement du territoire et des travaux publics  (MATP) et ses partenaires procèdent aux travaux de réhabilitation proprement dits. A cet effet, dimanche 9 février dernier, la RN4 a été coupée au niveau du PK 443+500 de 8h à 13h puis de 14h à 18h. Ce jour encore, une coupure est programmée sur ce même site à Anjiajia PK 443+500 pour les travaux de bitumage. D’après le MATP, cette coupure sera effective de 8h à 18h. A noter que la route à Anjiajia figure parmi les infrastructures fortement touchées par les pluies qui ont causé l’écroulement de routes et de ponts, des cas qui se comptaient en dizaines. Pour le ministère en charge des Travaux publics, l’objectif est non seulement de rétablir rapidement la circulation routière, mais également de réhabiliter les infrastructures fragiles afin qu’elles soient plus résistantes et durables. Un objectif qui a également conduit à l’intensification de la lutte contre les vols de pièces métalliques sur les infrastructures routières.

Antsa R.


COMDATA : Une convention d’entreprise à l’américaine

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Comdata a commencé l’année d’une manière inédite en organisant la plus incroyable des conventions dignes des grandes entreprises américaines.

L’externalisation du processus des affaires ou Business Process Outsourcing  (BPO) est de plus en plus pratiquée à Madagascar. Comdata Madagascar figure parmi les entreprises qui opèrent avec succès dans ce domaine.

Grands employeurs

La preuve, l’entreprise devient actuellement un acteur économique de poids, avec ses 1 200 employés et son objectif de recrutement de 200 personnes par mois. Employant essentiellement des jeunes, Comdata est entré dans le club des plus grands employeurs de Madagascar. C’est justement dans le cadre de cette politique efficace de gestion des ressources humaines que Comdata commence l’année en organisant la plus incroyable des conventions d’entreprises. Un événement, digne des grandes corporations américaines, qui s’est déroulé au Palais des Sports le 1er février dernier. Cette convention d’entreprise à l’américaine, une grande première à Madagascar, a été l’occasion pour les collaborateurs de Comdata d’échanger, de partager et de participer aux exercices de développement personnel dirigé par Toky Rajaona et son équipe Masterlife. Et ce, à travers des témoignages, des partages, des sessions de relaxation qui ont permis aux 1 200 collaborateurs de Comdata  d’aborder des thèmes  comme l’audace et le courage.

Meilleurs employés 

Dénommé Comdata Mania, cet événement était également l’occasion pour la nouvelle direction générale de l’entreprise de récompenser la fidélité et la performance des meilleurs employés en leur faisant cadeaux d’un chèque d’1 million d’ariary chacun.   La manifestation a également permis à la nouvelle direction de Comdata Madagascar et Océan Indien de lancer officiellement le réseau social interne CoCo, pour améliorer la proximité et les échanges d’informations en interne et d’annoncer les nouveaux programmes de fellowship, des bourses d’études pour étudiants, souhaitant concilier travail et études, les challenges, l’amélioration des conditions de ses collaborateurs, en plus des constructions  et dotations de cantine, de salles de relaxation et de sport. L’événement s’est terminé en beauté  par un méga concert avec Lion Hill, Dalvis, BoyBlack, Shyn  et  Denise.

R.Edmond.

Flash Eco

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Un guichet unique pour le tourisme sera mis en place. Une réunion de travail dans ce cadre, s’est tenue cette semaine, avec la participation de l’équipe de l’EDBM (Economic Development Board of Madagascar) conduite par son DG Andry Ravalomanda, des représentants de la Confédération du tourisme de Madagascar (CTM) conduite par son PCA Patrice Raoul avec Christian Aubry, membre fondateur, et Sandra Afick, directeur exécutif de la Confédération. Les discussions entre les deux parties se sont également axées sur le dialogue public privé. A noter que la CTM représente le secteur tourisme au sein du Conseil d’administration de l EDBM.

Antsa R.

Salon ITM : La 9e édition aura lieu du 18 au 21 juin 2020

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Les parties prenantes à l’organisation du salon ITM.

L’Office National du Tourisme de Madagascar (ONTM) et le ministère du Tourisme, des Transports et de la Météorologie, sont à pied d’œuvre pour la préparation de la 9e édition du salon ITM (International Tourism Fair-Madagascar). 

Cet événement d’envergure internationale aura lieu du 18 au 21 juin 2020 au Centre de Conférence Internationale à Ivato. Plus de 300 stands sont prévus être érigés avec un doublement du nombre d’exposants étrangers en provenance notamment de l’Océan Indien, de l’Afrique de l’Est et de l’Afrique du Sud. Et près de 18 000 visiteurs seront attendus, soit une hausse de 20% comparé à la dernière édition. « Pour cette 9e édition, l’événement revêt un caractère exceptionnel étant donné que cela coïncide avec la célébration du 60e anniversaire de l’Indépendance de Madagascar. Un volet sur le tourisme culturel lié à l’histoire de l’Indépendance du pays, sera ainsi en gestation », a expliqué Boda Narijao, le PCA de l’ONTM lors d’une conférence de presse hier à Anosy.

Opportunité aux PME. Et comme à l’accoutumée, le salon ITM servira de plateforme de rencontre entre tous les professionnels nationaux et internationaux du secteur du tourisme, y compris les activités connexes. Des conférences de haut niveau se tiendront également dans le cadre de cet événement pour discuter les différents enjeux du secteur, sans compter l’organisation des réunions B to B entre les opérateurs touristiques pour des partenariats futurs. En outre, « une association de journalistes espagnoles composée d’une quarantaine de membres a décidé d’organiser son Assemblée Générale à Madagascar, et plus particulièrement dans le cadre de ce salon ITM 2020. Ils profiteront cette occasion pour découvrir la destination Madagascar », a-t-il enchaîné.  Notons que l’ensemble du site d’exposition d’une superficie de 30 000m² sera exploité durant cet événement. Tous les acteurs et les différents prestataires liés au développement du secteur du tourisme, y participeront. « On donne également l’opportunité aux PME de présenter leurs offres via l’espace Tourisme pour tous. Dans le Village Madagascar, un regroupement économique des acteurs par région sera effectué pour valoriser la potentialité de chaque région. Et il y aura en même temps un espace dédié au pays invité d’honneur du salon », a expliqué Vola Raveloson, le directeur exécutif de l’ONTM.

Chiffre record. Par ailleurs, le ministre du Tourisme, des Transports et de la Météorologie, Joël Randriamandranto, a déclaré que son département soutient les opérateurs touristiques afin d’atteindre l’objectif de 500 000 touristes d’ici à 2023. Il a d’ailleurs saisi cette occasion pour dresser son bilan en 2019. « Un chiffre record de 378 000 touristes étrangers a été enregistré. Cela a dépassé le meilleur niveau de 2008 avec un nombre de 375 000 touristes internationaux enregistré. Ce qui montre que les Tours Opérateurs émetteurs ont manifesté leur confiance en l’avenir de la destination Madagascar. Cette année, un projet de construction d’une grande infrastructure d’hébergement de luxe sera concrétisé suite à l’organisation de Wave Madagascar. Même les investisseurs étrangers sont confiants du développement du tourisme de Madagascar, un secteur prioritaire pour l’Etat », a conclu le ministre de tutelle.

Navalona R.

Telma : Le smartphone Telma Eco+ pour la Saint-Valentin

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L’Ego+ de Telma fait le bonheur des usagers.

Telma continue d’offrir les meilleurs produits et services pour satisfaire au maximum les utilisateurs

La Saint-Valentin rime toujours avec cadeaux. Du coup, les opérateurs téléphoniques ne manquent pas de créativité pour permettre aux amoureux de s’offrir des cadeaux inoubliables.

Accessibles

A l’instar de Telma qui lance en ce moment une large gamme de smartphones 4G accessibles à tous les budgets. Telma Ego+ figure parmi les derniers-nés des smartphones Telma. Un modèle qui permet de rester connecté au réseau 4G vraiment  partout à Madagascar  à sa connectivité 4G, sa Wi-Fi et son Hotspot pour partager la connexion. Il s’agit d’un smartphone  d’une manipulation facile grâce à son système Android 9.0, sa mémoire vive de 2Gb ainsi que sa mémoire interne pouvant stocker jusqu’à 16 Gb. Un produit qui permettra à coup sûr aux amoureux de capturer les  moments les plus romantiques grâce à son appareil photo double caméra de 13 Mpx ,et sa caméra frontale avec flash intégré. Son écran HD IPS de 6.1 pouces  permet aussi de  regarder les  vidéos en HD. L’appareil est aussi muni d’un système de protection grâce à son lecteur d’empreinte (Fingerprint), et son système de reconnaissance faciale (Face ID) à seulement  369 000 Ar TTC , son prix est imbattable.

A petit budget

D’autres modèles à petit budget sont également  disponibles  comme l’indique un communiqué de l’opérateur : « Telma vous réserve encore d’autres surprises en Telma Shop pour tous les budgets ! Découvrez par exemple le Best-Seller Telma F1XS 4G à 219 000 Ar seulement au lieu de 269.000 Ar, ou encore le Telma Titan, toujours en 4G à 169 000 Ar seulement. Alliez également la technologie à la simplicité avec le Telma Wi-Kif+ 4G, le premier téléphone intelligent 4G à Madagascar doté du système KaiOS. Pour rappel, grâce au système KaiOS, les utilisateurs peuvent télécharger et rajouter des applications dans leurs mobiles avec touches. Le Telma Wi-Kif+ 4G est seulement à 65 000 Ar TTC au lieu de 79.000 Ar durant la Saint-Valentin. Ce n’est pas tout ! Telma et MVola offre également des chances de gagner divers lots pour les couples sur le digital, dont des smartphones ! Rendez-vous sur leurs pages Facebook Telma Madagascar et MVola by Telma ».  Telma veut ainsi rester le numéro Un de la téléphonie mobile, d’Internet et de mobile banking.

Recueillis par R.Edmond

Flux financiers illicites : Favorables aux inégalités, selon les participants à l’AFRODAD 

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Les flux financiers illicites ont d’importants impacts négatifs sur le développement des pays riches en ressources naturelles, selon les participants de l’AFRODAD.

Les économies africaines riches en ressources naturelles sont facilement touchées par les inégalités générées par les flux financiers illicites. Il s’agit d’un problème de gouvernance, d’après les propos évoqués lors de l’Indaba Mining Alternative Mining. Lors de la Session sur les ressources extractives, dans le cadre du Forum et réseau africains sur la dette et Développement (AFRODAD), les délégués ont noté que les flux financiers illicites engendrent un drainage des ressources fiscales et une forte dépendance à l’aide extérieure, ce qui perpétue également les dettes et les inégalités. Dans les pays riches en ressources minérales, cette inégalité est favorisée par la mauvaise gouvernance du pétrole, du gaz et  des mines, tout au long des chaînes de valeurs, de l’exploration à la gestion des recettes. « La dépendance excessive aux pays disposant de progrès techniques plus avancés, et l’incapacité d’ajouter de la valeur aux ressources disponibles, limitent les marges de manœuvres politiques pour la diversification de l’économie et le développement durable. Cette situation sape davantage l’équité intergénérationnelle », ont-ils indiqué.

Gouvernance. Plusieurs pays d’Afrique ont déjà procédé à l’exploitation de leurs ressources naturelles, durant des décennies. Mais ces exploitations ne sont qu’une source de pouvoir et de richesses pour les élites dirigeantes et les multinationales qui entreprennent sur le continent. Les contrôles des revenus provenant des ressources minérales indiquent tragiquement, et à plusieurs reprises, que ces ressources ont alimenté les inégalités, les cycles de corruption, les conflits et la pauvreté, empêchant la stimulation de la croissance économique et du développement social. En d’autres termes, ces ressources qui devraient être une bénédiction, sont devenues une malédiction pour les pays qui sont passés par cette évolution. Rangari Rai Chikova, analyste politique présent à l’AFRODAD a souligné que, la lutte contre les Flux financiers illicites est un problème de gouvernance. Il a exhorté les nations africaines à exiger avec fermeté la mise en place et l’opérationnalisation de systèmes qui obligent les entités multinationales de canaliser les fonds par des voies légales. Il a également martelé l’importance de la transparence et de la responsabilisation des acteurs concernés dans la gestion des industries extractives, qui doivent favoriser la croissance économique et le développement du pays concerné.

Antsa R.

Baolai : La campagne « prix cassé » continue

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Une remise jusqu’à 50% chez Baolai.

La campagne « prix cassé » continue chez Baolai, le spécialiste du haut de gamme chinois. Une initiative qui coïncide aussi à la Saint-Valentin. Les amoureux peuvent ainsi se faire des cadeaux à petits  prix puisque pour les TV Smart Changhong par exemple, les remises peuvent aller jusqu’à 50%. Sans oublier bien évidemment les autres produits phares de Baolai comme les Subwoofers et lecteurs DVD  de la marque Jeyoo et So Good, les réfrigérateurs Hisense, les smartphones Hisense’, les synthétiseurs Meike. « Nos produits sont authentiques et garantis, et nous disposons d’un service après-vente fiable »,  précise un responsable de Baolai.

R.Edmond.

Assurance MAMA : Une nouvelle agence à la gare routière d’Andohatapenaka

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Lors de l’inauguration de l’agence de MAMA à Andohatapenaka.

Fournir un service de proximité auprès de la clientèle. Tel est l’objectif de la compagnie d’assurance MAMA (Mutuelle d’Assurances Malagasy) en inaugurant une nouvelle agence à la gare routière d’Andohatapenaka. La MAMA dispose actuellement de 72 agences dans les régions et 22 agences à Antananarivo.  « Plus de 80% des transporteurs éparpillés dans tout Madagascar souscrivent à cette compagnie d’assurance. Nous ne ménageons pas nos efforts pour satisfaire les usagers en mettant en place cette nouvelle agence près de la gare routière d’Andohatapenaka », a expliqué M. Rolin, le président du Conseil d’Administration de l’assurance MAMA, lors de son inauguration. 

Coopération. En effet, « les transporteurs ne perdront plus de temps grâce à ce service de proximité », a-t-il poursuivi. Le Directeur général des Transports Terrestres, Reribaka Jeannot, quant à lui, a soulevé qu’ils pourront consacrer plus de temps à l’entretien de leurs véhicules étant donné qu’il n’y aura plus de longue file d’attente.  Il a également saisi cette occasion pour réclamer le renforcement de la coopération entre la société qui gère cette gare routière et la compagnie d’assurance MAMA dans le but d’améliorer la qualité des services offerts aux usagers. Il faut savoir que la gare routière d’Andohatapenaka abrite 39 coopératives de transporteurs assurant la desserte de la RN1, RN2, RN4, RN5 et RN6.  Les transporteurs membres de la coopérative CPCTRV ont manifesté leur satisfaction quant à la qualité des services au sein de cette gare routière, selon leurs dires.

Navalona R. 


Tourisme : Grande rénovation et nouvelle image présentées par Anjary Hôtel

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Anjary Hôtel rénové, présenté par ses dirigeants, hier aux médias.

La concurrence s’intensifie davantage dans le secteur de l’hôtellerie. C’est ce qui a poussé Anjary Hôtel à innover, selon les propos de Tiana Raminosoa, chef de réception auprès de cet établissement, lors d’une conférence de presse organisée, hier à Tsaralalàna. « Nous allons améliorer nos relations avec la clientèle. Des améliorations et des réaménagements ont été faits, et aujourd’hui, Anjary Hôtel dispose de 150 chambres à Antananarivo, de deux restaurants, de spa, de salon de thé Biskot, de salles de conférences et séminaires, etc. Nous avons fait en sorte que l’hôtel soit digne d’un 3 étoiles, suivant les normes internationales », a soutenu Tiana Raminosoa, lors de sa rencontre avec les médias. D’après les informations présentées, la Direction générale d’Anjary Hôtel est actuellement à sa troisième génération avec M. Adam, depuis sa création en 1972. Pour marquer cette nouvelle ère, des transformations ont été menées, avec des travaux d’extension et de rénovation. « L’agrandissement de l’hôtel à Tana n’est pas nouveau, car il y avait déjà eu des travaux en 1997, puis en 2016. De même pour Anjary Hôtel Mahajanga, ouvert en 2001, qui dispose de 43 chambres, rénovés en 2016. Ensuite, en 2017, nous avons créé le salon de thé Biskot. Pour Tana, les travaux d’extension ont été achevés en 2018 pour les 150 chambres qui sont aujourd’hui opérationnelles », a expliqué le chef de réception de l’hôtel. Dans la course à la concurrence, les dirigeants d’Anjary Hôtel ont avancé qu’ils misent sur l’expérience et le respect des normes internationales. Ces atouts seront mis en avant au prochain Salon international du tourisme (ITM 2020), qui se tiendra du 18 au 20 juin.

Antsa R.

Airtel Madagascar : Lancement d’un numéro vert (017) avec la police nationale

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La sécurité publique est primordiale. Consciente de l’importance de la lutte contre l’insécurité, Airtel Madagascar a décidé d’apporter sa collaboration avec les responsables de la sécurité publique. Plus particulièrement avec la police nationale à qui l’opérateur a offert gracieusement l’installation d’un numéro vert. En l’occurrence, le 017 que tous les abonnés Airtel peuvent appeler pour alerter la police en cas d’urgence. Disponible 24h/24 et 7j/7 cette ligne est accessible en composant le 017. Grâce à Airtel , la population pourra bénéficier de ce service de proximité car cette ligne leur sera exclusivement dédiée, ils pourront ainsi contacter la police directement, gratuitement et à tout moment afin de signaler tout incident nécessitant l’intervention des forces de l’ordre. Pour concrétiser ce partenariat, Airtel a remis, hier à la Police Nationale 24 postes téléphoniques destinées aux 22 régions dont 3 pour Analamanga. L’initiative, a en tout cas le mérite de concrétiser la volonté de la Police Nationale de se rapprocher davantage de la population. « La sécurité des citoyens est un droit fondamental. Ce partenariat avec la Police Nationale est une opportunité pour Airtel Madagascar de montrer son dynamisme, sa solidarité et son respect pour les droits civiques des citoyens malgaches.  C’est un honneur pour Airtel de s’associer à la police pour concrétiser la vision de l’Etat qui vise à garantir le calme, la paix et la sécurité de tous les citoyens sur la Grande Ile » ,a expliqué la responsable marketing d’Airtel Madagascar, lors de la remise de ces matériels de communication. « La collaboration entre Airtel Madagascar et la Police Nationale est un exemple à suivre pour lutter efficacement contre l’insécurité. La lutte contre l’insécurité est un combat de tous les instants et la mutualisation des efforts permettront d’obtenir des résultats plus efficaces », a annoncé pour sa part le Commissaire Divisionnaire Ainanirina Albert Estel, Directeur du Cabinet du ministre de la Sécurité Publique.

R.Edmond.

Jirama : De faux contrôleurs de compteurs en circulation

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Cela fait plusieurs mois que la Jirama a mené une campagne intense de lutte contre les vols d’électricité et les branchements illicites. Une campagne qui a déjà permis à la société d’État de constater près de 792 millions Ariary de manque à gagner, rien que dans la Capitale. Face aux contrôles qui sont menés dans divers quartiers, des usurpateurs profitent de la situation pour soutirer de l’argent aux usagers, selon les informations indiquées par la Jirama. « Ces individus prétendent être des contrôleurs envoyés par la Jirama.  Après avoir examiné le compteur, ils affirment qu’il y a des anomalies sur celui-ci et qu’une enquête devrait être ouverte, si l’usager en question ne paie pas une certaine somme », ont expliqué le service de communication de la Jirama, qui appelle les usagers à rester prudents. D’après les informations, les vrais contrôleurs doivent se munir de badge en tant que personnel de la Jirama, d’ordre de mission pour le contrôle et de carte d’identité nationale, certifiant qu’il s’agit réellement de l’employé indiqué dans les pièces justificatives.

Antsa R.

Croissance économique : Des signaux positifs et encourageants selon la Banque mondiale

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La réhabilitation de la RN 44 figure parmi les efforts du gouvernement de renforcer la connectivité à travers les projets routiers.

Un retour à la croissance économique combinée avec une réelle stabilité politique née d’un transfert sans heurts du pouvoir à l’issue de l’élection présidentielle 2019 donne espoir quant au défi de venir à bout de la pauvreté à Madagascar. 

« Bâtir sur les succès récents une économie plus résiliente ». Tel est l’intitulé du Mémorandum Economique de Madagascar que vient de publier la Banque mondiale. Un titre qui en dit long sur les avancées enregistrées ces derniers temps en matière de réformes pour le retour à la croissance économique, mais qui laisse également entendre que les défis à relever sont encore considérables. 

Cadre favorable. « Même si Madagascar est encore confronté à des défis considérables, les signaux sont positifs et encourageants » souligne en effet ce mémorandum de la Banque mondiale qui constate un retour à la croissance. « Une croissance soutenue au cours des six dernières années, le transfert constitutionnel de pouvoir suite aux élections présidentielles de 2018-2019 et une robuste mise en œuvre de réformes, indiquent que d’importantes opportunités existent à l’horizon ». Une manière pour la Banque mondiale de reconnaître que le retour à la croissance soutenue combinée avec la stabilité politique offre un cadre favorable à la réduction de la pauvreté. « Madagascar est en phase d’expansion économique et a connu une transition politique pacifique en 2019, ce qui donne au pays une base solide pour parvenir à une trajectoire de croissance plus inclusive et durable. Avec son Plan d’Emergence, le Gouvernement s’est donné une vision ambitieuse pour libérer le potentiel de croissance de Madagascar et d’en faire profiter le plus grand nombre. L’économie est en expansion depuis six années consécutives, avec une croissance estimée avoisinant les 5 pour cent en 2018 et 2019. La transition politique pacifique après les élections présidentielles de 2018-19 est une étape importante dans l’histoire politique du pays et pose les bases qui permettront de s’attaquer à des problématiques de gouvernance profondément ancrées ».

Voies à suivre. Une lueur d’espoir en somme pour la population malgache même si le travail à faire demeure immense pour venir à bout de cette pauvreté, car le pays est tombé dans une situation extrême. « Madagascar est l’un des rares pays au monde à avoir connu une baisse durable du revenu moyen par habitant sur une longue période, puisque celui-ci est aujourd’hui inférieur à son niveau lors de l’indépendance en 1960. Fait inacceptable, on estime que 77,6 pour cent de la population vit sous le seuil de pauvreté de 1,90 USD, à parité de pouvoir d’achat ». Justement, pour renverser cette tendance, la Banque mondiale donne des voies à suivre pour améliorer la croissance inclusive. Il s’agit des réformes prioritaires qui sont regroupées en quatre axes: renforcer la connectivité, développer le capital humain, uniformiser les règles du jeu et améliorer la productivité agricole. Nous en reparlerons.

R.Edmond.

Madagascar –Allemagne : Lancement de la phase II des deux projets de coopération

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Toutes les parties prenantes pour la mise en œuvre des deux projets de coopération.

La République Fédérale d’Allemagne soutient la vision IEM prônée par le Président de la République Andry Rajoelina, sur l’instauration d’une politique de décentralisation émergente. 

C’est pourquoi, le ministère Fédéral de la Coopération Économique et du Développement de ce pays, en étroite collaboration avec le ministère de l’Intérieur et de la Décentralisation,  mettront en œuvre deux projets de coopération financière et technique qui sont actuellement dans leur phase II. Le premier constitue le programme de développement communal inclusif et de décentralisation (PDCID), financé par l’institution allemande KfW. Et le second projet est également un projet de développement communal inclusif et de décentralisation dénommé ProDéCID, mais cette fois-ci mis en œuvre par la GIZ (Agence allemande de coopération internationale). C’est ce qu’on a appris lors du lancement officiel de la phase II de ces deux projets de coopération entre Madagascar et l’Allemagne à l’hôtel Baobab Tree à Mahajanga, dernièrement. Le ministre de l’Intérieur et de la Décentralisation,  Tianarivelo Razafimahefa et l’Ambassadeur d’Allemagne à Madagascar, SEM Michael Derus, ont représenté les deux pays lors de cette cérémonie.  

Construire des infrastructures. Les zones d’intervention de ces projets touchent trois régions, à savoir Boeny, Diana et Analamanga.  Parlant du projet PDCID dans sa phase II, c’est financé par l’institution allemande KfW à hauteur de 16,6 millions d’euros, et ce, à titre de don. Ce projet est mis en œuvre par le ministère de l’Intérieur et de la Décentralisation via le Fonds de Développement Local (FDL). La contribution de l’Etat s’élève ainsi à 0,83 millions d’euros. L’objectif de ce projet consiste à améliorer l’accès de la population aux infrastructures et services de base pour favoriser le développement socio-économique local ainsi qu’à renforcer les capacités des communes en termes de maîtrise d’ouvrage communale et de la bonne gouvernance. La phase II de ce projet, qui s’étale sur une période de 5 ans, prévoit entre temps de construire ou de réhabiliter des pistes rurales, des écoles avec l’acquisition des équipements, matériels et outils pédagogiques ainsi que d’autres infrastructures socio-économiques. Des bâtiments administratifs jugés prioritaires par les communes bénéficiaires seront également concernés. 

Développement économique local. Quant au projet ProDéCID dans sa phase II, c’est mis en œuvre par la GIZ pour un montant de financement de 15,2 millions d’euros, et ce, pour une période de trois ans. Ce projet vise notamment à augmenter de 50% les ressources locales des communes, à promouvoir le développement économique local et à renforcer la participation citoyenne. Renforcer les capacités des autorités locales et améliorer les services communaux, ne sont pas en reste. Dans le cadre de ce projet, les promoteurs prévoient de stabiliser les acquis de la première phase tout en capitalisant les approches pour une institutionnalisation et une mise à l’échelle au profit des autres communes. Notons que toutes les parties prenantes ont effectué une visite dans la commune rurale d’ Andranofasika pour constater de visu les résultats de la première phase de ces projets de coopération entre Madagascar et l’Allemagne, avant le lancement officiel de leur deuxième phase. 

Navalona R.

Constitution de Fonds souverain : Une opportunité à saisir par l’Etat, selon le CREM

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Les nouveaux membres du Bureau du CREM, lors d’une rencontre hier,avec les médias.

L’Etat doit miser dans les fonds souverains, dans sa quête aux financements durables pour la croissance, le développement et l’émergence. C’est ce qu’ont soutenu les membres du CREM (Cercle de Réflexion des Économistes de Madagascar), lors d’une conférence organisée hier. « Le pays entame depuis 2018, son take-off pour devenir un pays émergent à l’horizon 2023. Dans ce cadre, le rôle de l’État est prépondérant. Il ne peut plus se contenter d’assumer uniquement ses fonctions régaliennes classiques mais penser à devenir en même temps un État investisseur et régulateur sans se substituer au marché. C’est pour cette raison que l’Etat doit envisager d’autres sources de financement du développement, autres que celles issues des bailleurs traditionnelles car l’émergence va au-delà du développement », a indiqué le CREM qui se positionne en tant que « Think Tank », comme une « Force de proposition » en matière de politique économique. 

Opportunité. « Les fonds souverains sont des fonds d’investissements publics détenus et contrôlés par un gouvernement. Ils proviennent généralement de l’accumulation d’excédents de la Balance des Paiements et des revenus fournis par la rente des matières premières (le pétrole en particulier). Ces fonds peuvent aussi provenir des actifs transférés de l’Etat comme les propriétés et les participations de l’Etat dans les entreprises locales et qui se fructifient après être placés en actions, en obligations, dans l’immobilier, sur les marchés financiers nationaux et sur les marchés financiers étrangers », ont expliqué les membres du CREM. Selon l’association, la constitution d’un fonds souverain est une opportunité à saisir par l’Etat dans sa recherche de financement durable de la croissance, du développement et de son émergence. Par ailleurs, la rencontre avec les médias était également une occasion pour le CREM de présenter ses membres de bureau nouvellement élus, dont, entre autres, Dr David Rakoto Olivaniaina en tant que président, Andriatahiana Rakotoarisoa secrétaire général et Andrianantenaina Nambininjanahary Ramarifeno coordonnateur national.

Antsa R.

ONTM : Boda Harijao, réélu PCA

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Le PCA de l’ONTM, Boda Narijao

Un second mandat de deux ans pour Boda Narijao. En effet, il a été réélu au poste du Président du Conseil d’Administration de l’ONTM (Office National du Tourisme de Madagascar) suite à une assemblée générale qui s’est tenue hier au Novotel Convention & SPA à Alarobia.  En outre, un nouveau Conseil d’Administration de l’Office a été mis en place. A titre d’illustration, Jonah Ramampionona représentant l’association des Tours Opérateurs Professionnels, est élu vice-président de l’ONTM tandis que Bakomalala Nirinalijao de l’association des Agences de Voyages de Madagascar est élue trésorière. Rappelons que L’ONTM est une association reconnue d’utilité publique (ARUP) créée en 2003 et rattaché au Ministère des Transports, du Tourisme et de la Météorologie, dont la mission est de promouvoir la destination et de valoriser l’image de Madagascar sur les marchés extérieurs.

Navalona R.


Développement durable : Partenariat entre le CREAM et le CNAM

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: Signature de convention entre le CREAM et le CNAM, hier à Anosy.

Les Plans Régionaux de Développement et les Plans Communaux de Développement doivent s’aligner avec le PEM (Plan Emergence Madagascar). Pour ce faire, il faut renforcer les moyens humains nécessaires, selon le CREAM (Centre de Recherches, d’Etudes et d’Appui à l’Analyse Economique à Madagascar) et le CNAM (Conservatoire National des Arts et Métiers), qui ont signé hier une convention pour le renforcement de capacités des agents des institutions nationaux et régionaux. « Le projet vise à renforcer les moyens humains. La perspective mise sur l’accès accru aux connaissances et aux ressources, l’amélioration du milieu porteur et des savoir-faire. Les formations permettront aux bénéficiaires d’acquérir de solides connaissances en plus de leur compétence cumulée durant les années d’expériences professionnelles. Elles se basent sur des concepts clés, leur permettant aussi d’élaborer et de mettre en pratique des mesures efficaces pour améliorer l’organisation au niveau des Collectivités Territoriales Décentralisés », ont indiqué les deux parties, lors de la cérémonie de signature, qui s’est déroulée dans les locaux de l’INSTAT à Anosy. A noter que le projet sera mis en œuvre sur une année, et les impacts qualitatifs et quantitatifs attendus concernent directement le niveau socio-économique.

Antsa R.

Economie malgache : Une croissance supérieure à la moyenne africaine

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“En tant que Gouverneur de la Banque Mondiale pour Madagascar, le ministre de l’Economie et des Finances Richard Randriamandranto s’intéresse au plus haut point à ce mémorandum économique de Madagascar

Selon le mémorandum économique de Madagascar publié, hier par la Banque Mondiale, la croissance économique de Madagascar qui était en moyenne de 5% ces dernières années est supérieure à la moyenne africaine.

« La Banque Mondiale n’est pas seulement une source d’argent, c’est aussi une mine d’idée ». Ayant déjà officié comme consultants dans de nombreux projets financés par les bailleurs, le ministre de l’Economie et des Finances Randriamandranto Richard  est bien placé pour parler de l’importance  de ce genre de dossier économique publié par les bailleurs de fonds.

En pleine expansion

Gouverneur es-qualité de la Banque Mondiale, le ministre de l’Economie et des Finances a prouvé son intérêt  à ce mémorandum économique en répondant présent à la séance de présentation d’hier. Une séance au cours de laquelle, Marie-Chantal Uwanyiligira, responsable des opérations de la Banque mondiale pour Madagascar  a reconnu que  l’économie malgache qui est actuellement en pleine expansion  va permettre de relever le défi contre la pauvreté. « La reprise économique de ces dernières années, conjuguée à une transition politique pacifique à la suite des élections présidentielles de 2018, offre une base solide pour sortir Madagascar d’un cycle récurrent de pauvreté et d’instabilité, constate le Mémorandum économique de Madagascar publié aujourd’hui par la Banque mondiale », indique d’ailleurs le mémorandum économique qui selon toujours la responsable des opérations de la Banque Mondiale, comporte des similitudes avec le Plan Emergence Madagascar. Un plan très ambitieux et qui fixe notamment un objectif de 7%  de croissance en 2023. « C’est réalisable », a rappelé le ministre de l’Economie et des Finances.

Performance économique

Notons que le mémorandum économique Madagascar est une  publication quinquennale qui étudie la performance économique du pays et propose des réformes prioritaires susceptibles de générer une croissance plus robuste, inclusive et durable. Elle analyse dans le détail les facteurs à l’origine du succès de certains secteurs performants, la faiblesse d’autres secteurs à la traîne et les freins transversaux à l’émergence économique de Madagascar. «Une croissance économique soutenue par des secteurs porteurs tels que l’agroalimentaire, la confection et la sous-traitance en services informatiques a permis une progression de l’emploi ces dernières années, mais à un rythme insuffisant, puisque seulement un nouveau venu sur le marché du travail sur douze à la possibilité de trouver un emploi dans le secteur privé formel», explique Natasha Sharma, Économiste principale et auteure principale du rapport. « En se basant sur les succès récents, Madagascar peut bâtir une économie plus résiliente et inclusive, notamment à travers l’amélioration de la connectivité, du capital humain, et du cadre des affaires, ainsi que l’adoption de méthodes de production plus modernes dans le secteur agricole. » a-t-elle ajouté.

R.Edmond.

FIM : Une 15éme édition sous le signe de l’émergence 

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Pas moins de 300 entreprises seront présentes à la Fim 2020.

Emergence, innovation, solution. Tels seront les trois principaux thèmes  de la 15éme édition de la Foire internationale de Madagascar (Fim) qui aura lieu mi- mai prochain. Emergence car l’événement sera l’occasion de démontrer que la réussite du concept de l’émergence de Madagascar passera par le développement des entreprises, lesquelles entreprises doivent donner la priorité à l’innovation. « Chaque entreprise qui participe à la Fim doit présenter au moins une innovation », explique Michel Domenichini Ramiaramanana de l’Agence Première Ligne. En somme, il y aura au moins 300 innovations à présenter durant la Fim.  Des innovations qui feront l’objet d’échanges, dans le cadre des rencontres B to G, B to B et B to C. Par ailleurs, les start-up malgaches  sélectionnés lors du sommet Afrique France seront présentés à la Fim. Dans le cadre de sa 15ème édition, cette foire comportera également une touche orientale  avec la présence  d’entreprises issues de l’Association des nations d’Asie du Sud-Est (Asean). L’Indonésie  fera l’objet d’une présentation particulière durant la Fim qui aura également son Pavillon France. Bref, la Fim sera, une fois de plus, marquée par une multinationalité.

R.Edmond.

Ketrika.com : Les marques Samsung et Trust débarquent   

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Plate-forme de vente en ligne, ketrika.com continue d’élargir ses offres et devient une grande surface en ligne. Son récent partenariat avec Uditec fait que ketrika.com soit revendeur agréé des marques Samsung et Trust, des produits authentiques. La plate-forme propose une facilité à ses clients, soit en utilisant des jetons obtenus par souscription au site, soit via un achat direct en ligne. Le paiement se fait par mobile money. Quelques clics et les produits sont livrés à la demande des clients. Ces derniers ont le choix entre récupérer leurs marchandises auprès de l’un des dix points de relais dans la capitale et une livraison directe au lieu indiqué par l’acheteur, y compris en provinces. Outre les électroménagers et les produits technologiques en tous genres, les cosmétiques de tous les jours et les effets vestimentaires à la mode sont aussi parmi les produits en vente sur la plate-forme. En définitive, la Grande île suit le rythme des évolutions de la technologie qui, vue sous cet angle, ne pourrait que faciliter le quotidien des gens. Quelques clics et les produits, de surcroît authentiques, arrivent chez soi.

D.R

KRAOMA : 101 milliards Ar de dette

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Le ministre des Mines et des ressources stratégiques, Fidiniavo Ravokatra, a annoncé que le partenariat entre la Kraoma et les Russes, qui détenaient 70% des actions de cette entreprise, était un fiasco. En effet, « cette première a enregistré près de 101 milliards Ar de dette et 39 milliards Ar de perte », a-t-il révélé. La société d’État ne produit plus de chrome depuis juillet 2019 tandis que les Russes ont plié bagages depuis novembre dernier. C’est ce qu’on a appris lors de la rencontre entre les dirigeants de la Kraoma, le représentant du personnel et le ministre de tutelle hier à Ampandrianomby. Quant aux salaires des 507 employés de cette entreprise, le ministre de tutelle a soulevé que tout a été réglé. « Ceux-ci et leurs familles respectives bénéficieront, en plus, d’un filet de sécurité en attendant le redressement de la Kraoma par l’Etat, d’autant plus que Brieville est une zone sinistrée », a enchaîné le ministre Fidiniavo Ravokatra. Notons que la Kraoma a produit 32 000 tonnes de chrome entre la période août 2018 et décembre 2019.

Navalona R.

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